La vie est courbe forme lectureCréation 2017
« Ce texte peut être vu comme un essai de transcription du film intérieur de la pensée ; quelque chose de l’ordre de la pensée qui pense toute seule, quand on a le dos tourné. C’est un monologue polyphonique. Les paroles sont liquides, les pensées sont flottantes. [...] Il serait bon que le public parfois se demande « Suis-je sûr d’avoir bien entendu ? ».Jacques Rebotier
La vie est courbe — Création 2017
d’après la pièce de Jacques Rebotier
Mise en scène : Anna Agostini, Tessa Bazin et Caroline Cristofoli
Jeu : Anna Agostini et Tessa Bazin
Création lumière et son : Maxime Denis
Production : Le Diptyque collectif
Partenaires : Anis Gras – le lieu de l’autre, Gare au Théâtre, le Théâtre de la Reine Blanche.
Une forme immersive, visuelle et sonore
Dans cette forme lecture et installation de La vie est courbe, le son, la lumière et la vidéo-projection plongent les spectateurs en immersion dans l’univers à la fois familier, indiscret et inquiétant de la salle de bains. Une baignoire, seul élément de décor, occupe le centre d’un espace neutre, tantôt baigné de lumière, tantôt plongé dans l’obscurité. Le travail des voix, associé à la scénographie, produit de multiples effets d’échos, de réponses et de dédoublements. Y a-t-il une ou plusieurs paroles ? Un ou plusieurs personnages ? D’où proviennent ces voix ? Il s’agit par ce dispositif de permettre au spectateur de se perdre dans ces questionnements.
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